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Fiodor Dostoïevski

  • Jesshas quotedlast year
    Un firmament si étoilé, si calme, qu’en le regardant on se demandait involontairement : Peut-il vraiment exister des méchants sous un si beau ciel ?
  • Jesshas quotedlast year
    Elle me fait songer à ces jeunes filles languissantes, anémiées, qui n’excitent que la pitié, parfois l’indifférence, et brusquement, du jour au lendemain, deviennent inexprimablement merveilleuses de beauté : vous demeurez stupéfaits devant elles, vous demandant quelle puissance a mis ce feu inattendu dans ces yeux tristes et pensifs
  • Jesshas quotedlast year
    mon cœur sautait dans ma poitrine comme un oiseau en cage. Heureusement le hasard me vint en aide.
  • Jesshas quotedlast year
    La jeune fille filait droit comme une flèche, d’un pas à la fois précipité et peureux, comme font toutes les jeunes filles qui veulent éviter qu’on leur offre de les accompagner
  • Jesshas quotedlast year
    – Prenez mon bras, dis-je à l’inconnue.

    Elle passa silencieusement sous mon bras sa main tremblante encore de frayeur.
  • Jesshas quotedlast year
    car l’intelligence et la beauté vont très bien ensemble.
  • Jesshas quotedlast year
    et puisque vous voulez que je vous parle franchement, je vous dirai qu’une telle timidité plaît aux femmes, et si vous voulez tout savoir je vous dirai encore qu’elle me plaît particulièrement. Aussi je vous permets de m’accompagner jusqu’à ma porte.
  • Jesshas quotedlast year
    et puisque vous voulez que je vous parle franchement, je vous dirai qu’une telle timidité plaît aux femmes, et si vous voulez tout savoir je vous dirai encore qu’elle me plaît particulièrement. Aussi je vous permets de m’accompagner jusqu’à ma porte.
  • Jesshas quotedlast year
    pardonnez-moi si je vous le rappelle, j’ai cru vous avoir entendu pleurer, et moi... je n’ai pu supporter cela, mon cœur s’est serré. Ô mon Dieu ! étais-je coupable d’avoir pour vous une pitié fraternelle
  • Jesshas quotedlast year
    ne devenez pas amoureux de moi, cela ne se peut pas, je vous assure ; pour l’amitié je veux bien, voici ma main ; mais l’amour, non, je vous en prie
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